L’investissement d’impact est l’une des approches d’investissement qui progresse le plus rapidement en vue de rendre nos économies plus durables. Elle offre des possibilités qui sont non seulement bénéfiques sur le plan social et environnemental, mais également avantageuses sur le plan financier.
Dans un monde qui s’apprête à sortir de la pandémie la plus dévastatrice du siècle, la nécessité de construire une « normalité » plus juste, plus durable et plus résiliente s’impose plus que jamais.
Selon le Forum économique mondial, s’attaquer activement à la crise écologique mondiale pourrait créer 395 millions d’emplois et 10 000 milliards de dollars de richesse par an d’ici à 2030. Il ne faut donc pas s’étonner que beaucoup d’investisseurs souhaitent avoir un impact positif sur l’environnement et la société par leurs investissements.
Un écosystème complet
Julius Baer s’engage à mener une stratégie globale de développement durable et reconnaît le rôle que le secteur financier doit jouer dans la transition vers un monde plus durable, en donnant aux clients, aux collaborateurs et aux autres parties prenantes les moyens d’avoir un impact positif plus marqué.
En vue de cet objectif, Julius Baer se concentre sur deux des défis les plus critiques à l’échelle de la planète dans la transition vers une économie durable – la lutte contre la surexploitation des ressources naturelles et la lutte contre la sous-utilisation des ressources humaines.
« Pour accompagner ses clients sur la voie du développement durable, la banque a mis sur pied un écosystème complet qui va au-delà des produits financiers et comprend des rapports transparents, ainsi que l’accès à un leadership éclairé et des possibilités de mise en réseau pour les clients », affirme Albert Henriques, CEO de la Banque Julius Baer Monaco.
L’investissement d’impact comme pierre angulaire de la gestion de patrimoine responsable
Au sein de la gestion de patrimoine responsable qui englobe pour Julius Baer, l’investissement responsable, l’investissement durable, l’investissement d’impact et les services philanthropiques, l’investissement d’impact est l’approche qui connaît la plus forte croissance. L’investissement d’impact va au-delà de la prise en compte des facteurs ESG : il catalyse le changement environnemental et social tout en garantissant des rendements financiers. Cela peut se faire par un engagement actif à l’égard des investissements sous-jacents en vue d’améliorer leurs performances ESG ou encore par l’octroi de financements à des entreprises ayant une mission environnementale et sociale bien définie qui n’y auraient pas accès autrement.
L’investissement d’impact offre un large éventail de possibilités qui sont non seulement bénéfiques sur le plan social ou environnemental, mais peuvent aussi être financièrement rentables. Les investissements d’impact n’impliquent pas tous des rendements concessionnels, mais peuvent au contraire égaler ceux des investissements traditionnels.
Le nombre et la palette des investissements d’impact disponibles ne cessent d’augmenter. Parmi les options récemment disponibles figurent des Fonds dont l’objectif est de faire évoluer des solutions en matière d’inclusion financière et d’amélioration de la santé des océans. D’autres investissements d’impact peuvent concerner des domaines aussi variés que la santé publique, l’alimentation et l’agriculture durables, ou les nouvelles technologies climatiques.
« Il est important que les clients intéressés par l’investissement d’impact aient accès à une large palette de services et d’informations, souligne Albert Henriques. Ainsi, chez Julius Baer, nous offrons non seulement des produits, mais également une expertise interne, un réseau de pairs et une mesure de l’impact du portefeuille de titres. Nous le faisons à travers différents niveaux de service, en fonction des nécessités et des préférences. Comme pour la gestion de patrimoine responsable au sens large, nous adoptons une approche thématique, en donnant aux clients les moyens de tirer parti de leurs investissements afin de relever les défis critiques de la transition vers une économie mondiale durable. »